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Emmanuel Argo

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D'origine afro-caribéenne et de nationalité française, Emmanuel Argo est né le 30 mai 1949 à Fort-de-France dans la région de la Martinique. Il est l’aîné d'une famille de cinq enfants nés d’Avit Argo commerçant et de Juliette Argo, née Casca employée de commerce.

A 17 ans, il quitte Fort de France, sa ville natale, pour faire des études à Rennes, Paris, Rouen, Champaign Illinois/USA dans les domaines de la distribution, Business Administration et du droit international.

Puis il complète sa formation à l'université de Bordeaux où il obtient un Doctorat en droit du travail et ressources humaines et parfait sa formation dans un cabinet d'avocats parisiens.

Marié à une Normande depuis plus de 43 ans, ils sont parents de 2 enfants et ont 4 petits-enfants.

C'est après une première expérience professionnelle de 2 ans dans une PME normande pour la commercialisation à l'export en Europe de supports de stockage, en 1975,  alors qu'il n'a que 26 ans, qu'il crée sa propre entreprise dans son département d’origine, la Martinique. La PME qui emploie une trentaine de salariés, est tributaire à 100 %  de produits du importés dérivés du pétrole (revêtements de sols etc.). En 1979, le deuxième choc pétrolier entraînera la cessation de l’activité.

En 1980, il est chargé de formation pour le syndicat patronal de dirigeants et cadres de PME (Petite et Moyenne Entreprise) et PMI (Petite et Moyenne Industrie), puis devient directeur de ressources humaines dans une PMI régionale.                

À partir de cette période, engagements et parcours professionnel s'entrecroisent.

Un engagement à l'échelle européenne[modifier]

Un engagement pour une reconnaissance à l'échelle européenne des régions ultra-marines françaises   

Après avoir créé l’Union régionale de l’Encadrement CFE-CGC, dont il est élu le président, il devient membre du conseil économique, social et environnemental régional (CESER) où il revendique une égalité des chances pour l'emploi de cadres ultra marins dans leur région d'origine. A compétences égales, ce sont des cadres métropolitains qui occupent majoritairement des responsabilités dans les différents secteurs des économies locales ainsi que dans la haute administration.   

A contre-courant des tendances politiques majoritaires qui vont vers l'indépendance ou l'autonomie des départements d'Outre-mer, il défend l’idée que les régions ultrapériphériques de l’Outre-mer Français, en position  de vraies plateformes de développement économique, social et culturel, ont tout à gagner en permettant à l’Europe de s'ouvrir à des marchés situés dans la zone géographique Méso-Amérique et ACP. En 1990, il deviendra  membre de la Commission culturelle ACP- CEE (Afrique, Caraïbes, Pacifique - Commission Économique Européenne) qui regroupe des participants de 70 pays. À ce titre, il sera invité à Lomé, capitale du Togo, pour assister aux cérémonies de signatures de la Convention de Lomé.

Nommé à Bruxelles comme expert au Comité économique et social européen, il défend l'importance des régions ultrapériphériques européennes dans leur ensemble au regard des opportunités qu'elles offrent pour le continent européen.

En européiste convaincu, il croit en la libre circulation des hommes et des biens comme facteur de développement économique et social des régions et fonde la Maison de l’Europe dans les Antilles, Guyane et Caraïbes qui est membre de la FIME (Fédération Internationale des Maisons de l’Europe) dont le siège est à Ottenhausen près de Sarrebruck en Allemagne.

En 1986, au titre de représentant de la Société civile dans la catégorie des sociaux professionnels, il conduit une liste aux élections régionales de la Martinique composée essentiellement de cadres, chefs d’entreprises et professions libérales. Parmi les 7 autres listes présentes, il y a celle conduite par le Député Maire de la Martinique Aimé Césaire  élu au parlement Français depuis 1946, davantage connu comme homme de lettres de renommée internationale. En 1990, ces élections sont annulées. Il réitère la conduite de sa liste qui de nouveau frôle la barre des 5%.

Un engagement auprès de l'ANC / African National Congress[modifier]

A l'occasion de la signature des accords de Lomé, il avait rencontré la troupe de théâtre sud-africaine Sarafina, en tournée dans les grandes capitales internationales pour dénoncer l'apartheid. Il n'oubliera pas leur combat.

1992-94, alors qu'il enseigne le droit de la Communauté Européenne à la faculté de Droit, de Sciences économiques et de Gestion de l’université de Rouen (France) et s'intéresse particulièrement aux contrats juridiques qui lient les PME et PMI européennes entres elles, il coordonne un programme Erasmus entre les universités  de Bordeaux, Dublin, Athènes, Hanovre, Linköping, Londres et Madrid.

L'élection de Frederik de Klerk  en 1989 annonce la fin de l'apartheid et le 11 février 1990 Nelson Mandela est enfin libre; il comprend tout de suite le rôle que peut jouer la France, pays des droits de l'homme où se sont réfugiés plusieurs membres de L'ANC, dans la construction de la nouvelle République d'Afrique du Sud.

Ainsi, s'appuyant sur l’inter-régionalisation intra européenne du programme Erasmus sur lequel il reste engagé dans son domaine universitaire, il initie un programme de formation universitaire et professionnel pour des responsables et cadres de PME de l’Afrique australe  à travers un think tank intitulé  SAFIR (SouthernAfrican Institute For International Relations). Cette structure est créée avec le soutien de professeurs de l’université de Rouen parmi les lesquels le prix Nobel de physique: Georges Charpak. A Paris, le constitutionnaliste de renommée internationale Guy Carcassonne, tout comme au Cap, en Afrique du Sud, le prix Nobel de littérature Nadine Gordimer. Au titre de SAFIR Emmanuel Argo rencontre pour la première fois en 1993, Nelson Mandela à Johannesburg à son bureau de l’ANC. A cette occasion, le futur président de la nation arc-en-ciel exprime sa satisfaction sur la pertinence de cette ouverture inter régionale entre des  instituts de formation du Commonwealth et Européennes.

La naissance de la nouvelle République d’Afrique du Sud[modifier]

Son engagement auprès de l’A.N.C. lui permet de contribuer  à  la naissance de la nouvelle République d’Afrique du Sud

En Afrique du Sud[modifier]

Avec Nelson MANDELA en 1993

En 1993, en Afrique du Sud, il a le statut de contributeur auprès de l’ANC, parti que préside Nelson Mandela, dans le cadre des travaux pour une nouvelle constitution de l’Afrique du Sud et, à ce titre, est porteur de missives auprès de différents gouvernements européens et organismes nationaux tel que le Conseil Constitutionnel Français.

Après avoir été nommé observateur par la commission électorale sud-africaine en vue des élections présidentielles du 10 mai 1994, il est invité d'abord à l'installation du Parlement sud-africain au Cap puis aux cérémonies d'investiture du président Mandela à Pretoria. C'est là qu'il rencontrera des personnalités comme Fidel Castro, Hillary Clinton, Benazir Bhutto, Yasser Arafat

Il devient alors Consultant permanent pour le Ministère de l’Education du gouvernement du Président Mandela afin de faciliter des programmes de formation professionnelle et échanges universitaires liés à des débouchés socio-économiques entre les pays ACP et  l’Union Européenne. Simultanément, à la demande de l’Université du Cap, il coordonne la mise en place d’un projet de master de droit portuaire et maritime, destiné à former des personnels-cadres administratifs et techniques des différents ports commerciaux d'Afrique du Sud. Déjà il propose que les ports normands de Rouen et du Havre soient désignés comme centres d’études pratiques pour accueillir cette formation professionnelle diplomante.

La SADC[modifier]

De 1994 à 1997, il est Conseiller spécial du Secrétaire Général de la SADC (Southern African Development Community / Communauté de développement d'Afrique australe) chargé de relations pour faciliter des échanges entre des professionnels du secteur privé de la SADC, et des pays francophones d'Europe et d'Amérique.

Conseiller spécial au Mozambique[modifier]

De 1996 à 2001, il est Conseiller spécial du ministre des Transports et Communications du Mozambique pour faciliter des projets de type Corridors  de développement, infrastructures et acquisitions de matériels à partir de pays occidentaux francophones. Il est chargé de coordonner un projet pour l’acquisition de bateaux de pêche (financements internationaux et matériels). Le projet sera réalisé en 2015.

Aux États-Unis[modifier]

En 1999, aux États-Unis, il participe aux réunions  du Congressional Black Caucus à Washington / Caucus noir du Congrès Américain et notamment à la préparation du programme Tools for 2000 / Outils pour l’an 2000 préparés sous l’égide du Président Bill Clinton. Au cours de ces réunions, il rencontre des personnalités telles que : le pasteur Jesse Jackson, l’ancien maire de New-York David Dinkins et Colin Powell.

Son engagement à la SADC[modifier]

Après l'élection de Thabo Mbeki en 1999 à la tête de la République sud-africaine, il poursuit un autre engagement auprès de la SADC.

La SADC est la communauté de développement d’Afrique australe qui a une dimension économique, sociale et culturelle. Elle entretien des liens étroits avec les organismes régionaux comme: La Communauté économique des États de l'Afrique centrale, la Communauté d'Afrique de l'Est ainsi que la SACU/ Union douanière d'Afrique australe, qui a été créée en 1910, ce qui fait d’elle, la plus ancienne union douanière dans le monde, bien avant le traité de Rome et la création de la CEE. A l’instar de l'Union Européenne, la SADC  s’efforce d'organiser le marché commun des pays de l'Afrique australe. Elle est structurée à l’anglo-saxonne en offrant une visibilité annuelle sur des projets suprarégionaux dans des secteurs allant de l’agriculture, l’aquaculture, les énergies renouvelables, la formation, l’industrie, les télécommunications, les transports et communications etc. C'est pour ce dernier secteur, qu'en tant que français, il a été chargé de travailler à la recherche de partenaires internationaux français et étrangers prêts à intervenir en Afrique sur des projets comme celui de la réhabilitation du Chemin de fer de Benguela, l a liaison Ferroviaire du Port du Lobito et le corridor de développement de Maputo.

Un engagement international auprès des diasporas.[modifier]

Un engagement auprès des diasporas originaires d’Afrique, de la Caraïbe et de la zone Méso-Amérique.

La démocratie en marche et le décollage économique de l'Afrique du Sud auquel il assiste ,entraîne l'immigration de milliers d'hommes et de femmes venus des régions voisines, avec les difficultés de rejet de la population autochtone que cela entraîne. Ces mouvements qui génèrent à terme le creusement des inégalités, sont souvent le fait non seulement d'une conjoncture mais aussi d'une culture. Comme les migrants qui partent en l'Europe et dans le reste du monde, ils servent d'assurance vie à leur famille restée au pays. Alors qu'il s'installe en Angleterre, il s'engage alors pour défendre les efforts de solidarités que les migrants, regroupés en diasporas de toutes origines, font en faveur de leurs proches.

A la présidence du GLAD[modifier]

En 2005, il devient Président de  GLAD (Global African Diaspora) coalition. Basée à Londres GLAD fédère des ONG répartis à travers le monde (Amériques, Caraïbe, Europe, Afrique, Asie, Pacifique). Il rencontre des représentants de la diaspora Afro-américaine comme la veuve du Prix Nobel de la Paix Martin Luther King: Coretta Scott King , Michael Jackson et l’acteur antiségrégationniste Harry Belafonte.

              La mission de GLAD consiste à mener des actions auprès d'institutions de développement britanniques telles que DFID, pour permettre notamment aux diasporants d'accéder, à diplômes et qualifications égaux, à des postes correspondant à leurs compétences. En outre, la question du BRAIN DRAIN (fuite des cerveaux) en ce qu'elle a de négatif pour le décollage économique des pays en développement, est constamment abordée tant auprès du gouvernement britannique qu'auprès d'institutions internationales telles que la Banque Mondiale, L'OIM (organisation internationale pour la migration), les sommets internationaux comme  le G8 et le G20. GLAD s'est donné pour mission de favoriser le retour au pays d'origine de ceux qui avaient le projet d'y créer une entreprise. C'est pour cette raison que la question des envois d'argent et de l'épargne a été également un des plus gros chantiers.

 Ainsi, Emmanuel Argo dénonce les sociétés de transferts d’argent du type Western Union, Money Gram pour leur faire réduire les commissions exorbitantes (allant jusqu’à 20%), qu’elles prélèvent sur les envois de fonds appelés rémittences envoyées par les migrants à leur famille.

Parmi l’ensemble des ONG (Organisations Non Gouvernementales) internationales, c’est à GLAD que le NEPAD attribue deux postes pour représenter la Diaspora africaine répartie à travers le monde. Une diaspora peut être une des clefs de développement en Afrique.

Dans un souci de parité, ce qui lui a valu des critiques de la part de ses collègues masculins, c’est Madame Georgina FALU qu’Emmanuel Argo a désigné pour occuper le poste pour la zone Mésoamérique. Lui, est chargé de la zone Europe-Asie/Pacifique. C’est  à ce titre qu’il participe à la Commission pour l'Afrique en vue de la préparation du Sommet du G8 de Gleneagles  au Royaume-Uni. 

Il devient membre de Chatham House: The Royal Institute of International Affairs, une institution qui fonctionne dans la pure tradition britannique de l’Habeas Corpus. Il est également membre du think tank international Business Fights Poverty, basé à Londres.

Membre de la société civile du G8[modifier]

Emmanuel ARGO rapporteur général du civil G8 présidé par V. Poutine.

En 2006, encouragé par le Premier ministre britanniqueTony Blair, en Russie, il devient membre du Conseil international de la société civile du G8/cg8-Council. En vue de la préparation du Sommet des chefs d’États et de gouvernements du G8, il est à l’initiative de propositions réclamant  la baisse des commissions prélevées par l'industrie de transfert d'argent sur les rémittences.

Lors d’une séance plénière présidée par Vladimir Poutine, en mars à Moscou, il est rapporteur général et porte des recommandations pour réclamer la fin du monopole exercé dans certains pays par Western Union pour les transferts d'argent. Il demande que de nouvelles enseignes se multiplient avec des horaires d’ouvertures adaptés aux horaires de travail afin d’éviter que ceux qui envoient de l'argent ne perdent une journée de travail. Il demande que ces dispositions s’étendent dans les pays du G8, ainsi qu’aux autres qui accueillent des migrants à travers le monde. Il plaide pour une meilleure utilisation des rémittences au profit d’investissements en faveur des TPE dans les villages et pour mise en valeur des productions  artisanales locales.

Avec Muhammad Yunus prix Nobel de la paix en 2007

Forum Environnement et Développement.[modifier]

En 2007, à Bonn, en vue de recommandations pour le Sommet du G8 d’Heiligendamm en Allemagne, il participe au Forum intitulé: Environnement et Développement qui se tient sous l’égide de la Banque mondiale. Inscrit dans le groupe de travail: Microcrédits et Rémittences, présidé par le prix Nobel de la Paix Muhammad Yunus, il développe l’intérêt qu’il y a d’envisager une meilleure utilisation des rémittences pour la création de TPE financées en complément par des micros crédits. Lors de la réunion plénière du Forum, malgré les réticences du Directeur par intérim de la Banque Mondiale, il impose à l’assemblée, le respect d’une minute de silence en mémoire  de l’abolition de l’esclavage qui a été décidée deux cents ans auparavant. L'action a reçu le soutien de la Ministre allemande Heidemarie Wieczorek-Zeul qui, avant de se lever, a déclaré : que “l’Allemagne avait comme d’autres pays européens, tiré profit de l’esclavage à cette époque, c’est pourquoi, elle répond favorablement à la demande légitime d’Emmanuel Argo". Après que l’assemblée entière a observé l’instant de silence, Muhammad Yunus a rejoint Emmanuel Argo en lui disant : “je vous félicite, car vous avez réduit tous ces puissants au silence!"

À Berlin, il participe au Dialogue civil présidé par la Chancelière Angela Merkel, laquelle a pris en compte les propositions sur les rémittences pour des applications par son pays, par le biais de l'Agence allemande GTZ.

Membre de la Commission pour l'Afrique[modifier]

En 2008, il est membre du Commission pour l’Afrique / ccfa. Advisory board en vue de la préparation du Sommet du G8 2008 d’Hokkaido au Japon. Aidé par une société civile japonaise moins reconnue qu’en Europe et en Amérique, ses échanges se bornent  à des rencontres avec  l'Agence Japonaise de Coopération Internationale pour des projets de développement avec l’Afrique Australe. Lors de cette visite, il réunit les diasporants recensés officiellement. Leur nombre n’excède guère plus de 100 personnes, issues davantage de la classe moyenne africaine. Cette très faible présence de migrants fait que les banques du pays se sentent moins concernées qu’ailleurs sur le sujet des rémittences.

L'Africa Mundus[modifier]

En 2009, pour défendre une meilleure utilisation des envois d’argent, il est l’auteur du programme de recommandations intitulé: Africa Mundus.

Remit@nces[modifier]

En 2010, il crée à partir du mot latin remittere, le néologisme international Remitt@nces, concept qui exprime dans toutes les langues, l’immédiateté, l’importance des flux financiers ainsi que les enjeux économiques et sociaux que représentent les transferts d’argent envoyés principalement par les diasporas, expatriés et migrants du monde entier à destination de leur pays d’origine. Ce mot traduit également la circulation à travers la planète  d’environ 1.400 milliards  de $ US en 2011, incluant les commissions non négligeables prélevées sur ces envois par des opérateurs de l’industrie des transferts d’argent.

Comme Président du think tank “G20 Civil society Advisory network”,  il porte des recommandations soutenues par le Prix Nobel de la Paix, Lech Wałęsa pour le Sommet du G20 de Séoul en Corée du Sud.

Recommandations au G20 de Séoul[modifier]

  • promotion de l’utilisation de technologies innovantes liées aux téléphones portables comme moyen de transfert des rémittences, ainsi que la création d’une journée internationale des Remitt@nces
  • création d’un Fonds de Développement international à partir d’une taxe spécifique prélevée sur les commissions perçues par l’industrie de transferts d’argent pour faciliter le retour et l’installation de migrants qui souhaitent créer notamment des TPE dans leurs pays d’origine
  • stabilisation des cours de céréales composant la nourriture de base dans des régions les plus pauvres et défavorisées de la planète.

Cette même année, encouragé par le Ministre du Développement international britannique, DFID (Department For International Development / Département du Développement international), du gouvernement du Premier ministre britannique David Cameron, il promeut le rôle et l’importance des Remitt@nces, comme levier de développement économique et social dans certains pays émergents où le poids de ces transferts dépasse le PIB.

Depuis, comme membre de la Société Civile, il plaide encore pour une meilleure utilisation de l’épargne des Remitt@nces à travers le monde. 

Travaux avec le prix Nobel d'économie Elinor Ostrom[modifier]

En 2011, il sollicite le prix Nobel d’économie Elinor Ostrom pour une réflexion sur la mutualisation, la capitalisation, l’épargne financière ainsi que la création d’une unité monétaire internationale pour les envois d’argent. Malheureusement Elinor Ostrom décède en 2012

Avec le Pape François en 2013

Main basse sur l’argent des pauvres. Merci aux Remitt@nces[modifier]

En 2013, il publie : Main basse sur l’argent des pauvres. Merci aux Remitt@nces : ISBN 978-2-332-65183-9, qu’il offre (cf.‘savez-vous’ ) au Pape François le 4 Décembre 2013, au Vatican. Ce livre est traduit de l’original qu’il a écrit en Anglais et qui s’intitule: Thanks Remitt@nces : Global Economy: opening floodgates of the global backwaters, préfacé par le prix Nobel de la paix Lech Wałęsa.

L'Europe n'est pas un eldorado[modifier]

En septembre 2015, il prend position sur la situation des réfugiés et déclare: que l’Europe n’est pas un eldorado, que la résolution de la crise passe par la prise en compte officielle de Vladimir Poutine président de la Fédération de Russie, que par ailleurs la Russie doit réintégrer le Sommet du G8, que, sous certaines conditions, une  expérience peut être menée en Guyane française pour l’accueil des réfugiés. Ce vaste territoire qui abrite des technologies les plus avancées de la planète, n’est plus une terre de relégation.

Engagement pour une inter-régionalisation française[modifier]

Engagement pour l'inter-régionalisation française, axe de développement économique avec pour partenaires les pays du Commonwealth, du MERCOSUR et de la Méso-Amérique.

Fidèle à ses convictions et en cohérence avec son parcours et face au désengagement progressif de l'État, il ne cesse de plaider pour l'inter-régionalisation, c'est-à-dire, un développement économique basé à la fois sur la complémentarité des atouts (économique, géographique...) et le partenariat inter-régional. De plus, il propose, notamment aux entreprises du secteur privé(TPE, ETI), colonne vertébrale de l'économie locale et pourvoyeuses d'emplois mais dont la taille ne permet pas les mêmes moyens à l'export que ceux des grandes sociétés, la mise en place de joint venture avec des partenaires  des pays du Commonwealth.

Pour ce faire, il souhaite que les différents acteurs économiques français rejoignent des partenaires étrangers autour de la création d’un pôle international de SYDRES (Synergies pour des Développements Régionaux Économiques et Sociaux / Synergies for Development of Regions and Societies / SYnergías por el Desarrollo Regional Económico y Social / Synergias pelo Desenvolvimento Regional Economico e Social), interface qui s’avère indispensable pour la réalisation des projets. Les SYDRES constituent un système de maillage économique déjà tissé entre des entreprises du secteur privé TPE, ETI (Très petites Entreprises, Entreprises de tailles intermédiaires) et des investisseurs. Les pays concernés sont basés tant en Afrique, dans les Caraïbes du Commonwealth, du  MERCOSUR / Marché commun(pays) du Sud que dans la zone Mésoamérique. Les réseaux existants permettent d'accéder à des marchés commerciaux et opportunités extérieurs répertoriés.

Dans le cas de la France, ces SYDRES pourraient aider à la mise en place d'une complémentarité inter-régionale. Ainsi, s'appuyant par exemple sur le lien naturel que forme la Seine, à la manière d'un corridor économique reliant l’Île-de-France à la Normandie, région dotée d’une façade maritime exceptionnelle, d'infrastructures portuaires et industrielles, une association pérenne de ces deux régions mitoyennes pourraient offrir d’énormes potentialités d’exportation contribuant ainsi plus largement au développement économique d'autres régions françaises, au maintien voire à la création d'emplois à l'échelle locale.

Principaux travaux et contributions [modifier]

Auteur de plusieurs ouvrages, articles de presse en anglais, a donné de multiples interviews à des médias étrangers (Afrique du Sud, Allemagne, Angleterre, Canada, Japon, Namibie, Russie, USA) sur le développement, les partenariats socio-économiques et culturels, en lien avec les Remitt@nces à travers le monde.

Co-auteur de trois ouvrages avec “The Institute for Business Innovation ”de l’Université de Prétoria en Afrique du Sud:

  • 2005 : Conflict and governance: NEPAD, South Africa and Africa. ISBN O-620-34809-7.
  • 2005 : NEPAD and the African Renaissance. ISBN 0-620-32510-0.
  • 2007 :  Regional Integration Economic Partnership Agreements for Eastern and Southern Africa. ISBN 978-0-620-38462-9.

Cet ouvrage traite des possibilités de partenariats économiques entre l’Union Européenne y compris les régions Françaises ultra-marines, les pays du Commonwealth de l’Afrique Australe, des francophones, ainsi que ceux du MERCOSUR offrant également des opportunités dans la sphère méso-américaine et caribéenne.

  • 2015 : Est l’auteur de: Nelson Mandela et la naissance de l’Afrique du Sud. ISBN 979-10-302-0003-4
  • 2015 : Est invité comme Guest- speaker au  Club de la Presse Suisse à Genève sur le thème: “Choice of Europe: Globalization or Re-Sovereignization”. Son intervention s’intitule: Remitt@nces are even more amazing that we thought for globalization”.
  • 2015 : Crée l'acronyme SYDRES (Synergies pour des Développements Régionaux Économiques et Sociaux). En anglais : Synergies for Development of Regions and Societies. En Espagnol : SYnergías por el Desarrollo Regional Económico y Socia. En Portugais : Synergias pelo Desenvolvimento Regional Economico e Social, qui désigne une interface qui s'avère indispensable pour la réalisation de projets.

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