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Contacts culturels entre Inde et Europe

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La communauté scientifique souligne aujourd'hui les rapprochements entre la civilisation indienne et celle de l'Europe. Ce sont d'abord les grammairiens, qui, à la suite de leurs découvertes, ont émis l'hypothèse d'une racine commune du langage (l'usage du a privatif commun à la Grèce et à l'Inde est un des éléments qui semblent confirmer cette thèse). Ensuite, les avancées de l'indianisme, grâce à des études comparatives, ont permis d'élargir ces rapprochements à d'autres domaines comme la philosophie, la mythologie, les sciences… Avant ces découvertes, on croyait les échanges entre l'Inde et l'Europe limités à des évènements plus récents comme la colonisation, mais l'avancement de la recherche en archéologie ainsi qu'en sciences humaines apporte de nouveaux éclairages en particulier au sujet de la théorie de l'invasion aryenne et de la civilisation indo-européenne mais également dévoile les contacts des deux civilisations durant les périodes historiques de l'Antiquité et du Moyen Âge. Il apparaît ainsi qu'une partie de la culture indienne nous fut transmise tout au long de l'Histoire par les Grecs qui colonisèrent et fondèrent le Royaume gréco-bactrien, les Perses Achéménides et les Arabes via l'Empire moghol. L'Art du Gandhara est l'illustration de ces échanges culturels[1].

Philosophie comparée[modifier]

Longtemps dénigrée par l'enseignement, la philosophie indienne est aujourd'hui le fruit d'analyse comparative[2]. Durant l'antiquité, les voyages des sages indiens en Grèce et des philosophes grecs en Inde ont permis un échange culturel remarquable.

Certains adeptes de l'hindouisme, tels que Alain Daniélou, considèrent que les Indiens seraient à l'origine de la philosophie occidentale :

« Athènes, Alexandrie, la Syrie, la Palestine étaient des lieux de rencontre où se trouvaient de nombreux Hindous. Aristoxène, cité par Eusébius, parle de discussions entre Socrate et un philosophe indien. L'école des Sceptiques fut fondée selon les principes jaïna. Comme l'a remarqué Schröder, presque toutes les doctrines philosophiques ou mathématiques attribuées à Pythagore sont dérivées du Sankhya et étaient courantes dans l'Inde à son époque. Nous retrouvons d'ailleurs les concepts fondamentaux du Sankhya chez Anaximandre, Héraclite, Empédocle, Anaxagore, Démocrite et Épicure. Les influences indiennes sur la pensée des Gnostiques, des Néo-platoniciens ainsi que l'Évangile de Saint Jean sont généralement reconnues. L'Apocalypse est une adaptation du Bhavishya Purana. Il existait des colonies d'Hindous sur le haut Euphrate [3]bien avant l'ère chrétienne et c'est seulement en 304 de notre ère que Saint Grégoire détruisit leurs temples et en brisa les images. »

— Alain Daniélou, Mythes et Dieu de l'Inde, le Polythéisme hindou[4].

C'était le cas au XIXe siècle. À cette époque, certains pensaient que les Indiens et leur philosophie étaient plus anciens que la philosophie grecque, voire égyptienne :

« Personne n’ignore que la pensée qui inspirait Apollonius fut de puiser aux sources les plus vives de la sagesse orientale des moyens de régénération pour le polythéisme. Effort impuissant, mais noble tentative! Quoi qu’il en soit, Apollonius fut le disciple du brahmanisme antique. M. Leroux remarque que la doctrine contenue dans le fragment qu’il cite, non-seulement rappelle les Vedas, mais porte des traces évidentes de l’école du sankhya et du bouddhisme. Or, si Apollonius pense absolument de même que M. Leroux, il suit que ce dernier n’a pas d’autre philosophie que le panthéisme indien »

— Lerminier, Revue des Deux Mondes[5]

« Le Vedanta […] qu’on retrouve dans les représentations égyptiennes, et qui d’Egypte, nous le verrons, a passé en Grèce par Pythagore. »[6]. Le mythe de l'expansion d'une civilisation aryenne venant de l'Inde est aujourd'hui sévèrement critiqué pour avoir servi de base aux mouvements xénophobes et antisémites qui ont conduit aux exactions de la périodes coloniale et à la tragédie des génocides de la seconde guerre mondiale[7]. Il est important de préciser que le Védanta, né au VIIIe siècle APRES J.C. aurait pu difficilement influencer l'Égypte.

La Fontaine était d'avis que la métempsycose de Pythagore avait un substrat indien :

De cette sorte de prochain
Nous nous soucions peu. Mais le peuple brahmin (c.a.d. les Hindous),
Le traite en frère; ils ont en tête
Que notre âme au sortir d'un roi,
Entre dans un ciron, ou dans telle autre bête,
Qu'il plait au sort. C'est là l'un des points de leur loi.
Pythagore chez eux a puisé ce mystère.

(La Fontaine, La souris métamorphosée en fille)

Au XIXe siècle, certains auteurs comme Jeffrey Hopkins ou Edward J Urwick allaient plus loin. Edward J Urwick considèrait les philosophes grecs comme des disciples directs des doctrines indiennes.

« Chacune des doctrines, connues pour former la doctrine de Pythagore et celle de la confrérie de Pythagore à Crotone, était une reproduction parfaite des doctrines cardinales de la Vidyā indienne et du Yoga indien, à tel point que les vedantins indiens aujourd'hui n'hésitent pas à considérer Pythagore comme l'un des leurs, l'un de leurs grands représentants [...]  »

— Edward J Urwick, Plato - A Re-Interpretation of the Republic : The Message of Plato[8].

Aujourd'hui, certains auteurs constatent qu'on s'est appliqué à effacer toutes traces de ces rapports[9], bien que l'on puisse penser que soit la métempsycose et la réincarnation indienne ont une origine commune, soit l'un a repris l'idée de l'autre.

Il apparaît logique que du fait des échanges commerciaux anciens[10] entre l'Inde, ses voisins et l'Europe, les idées aient autant voyagé que les marchandises. « L’influence des philosophies indiennes sur la formation de la pensée occidentale a été durable et continue à être au centre de nombreux travaux. »[11]

Croyances et Religions[modifier]

Shiva et Dionysos[modifier]

Le dieu gaulois Cernunnos (le cornu) sur le chaudron de Gundestrup. Daniélou voit dans ce dieu cornu et phallique une similitude avec Shiva également appelé Shringin, le cornu
Le sceau de Pashupati, seigneur des animaux, trouvé à Mohenjo Daro, est pour Daniélou un images du dieu-taureau ou du dieu cornu à l'origine du culte de Shiva en Inde et similaire à celles des traditions préceltique et minoenne. .

Selon l'orientaliste, Alain Daniélou (1956-1963, membre de l'Institut français d'indologie et de l'École française d'Extrême-Orient; 1963-1977, directeur de l'Institut international d'études comparatives de la musique à Berlin et Venise.) Shiva et Dionysos seraient à l'origine d'un culte commun dont la croyance aurait décliné en Europe et se serait poursuivit en Inde.

«  Dans l'Inde, nous pouvons revivre et comprendre de manière parfois presque intégrale les rites et les croyances qui furent celles du monde méditerranéen et du Moyen-Orient dans l'Antiquité. »

— Alain Daniélou, Shiva et Dionysos, Fayard 1979

Daniélou oppose 2 types de religions (l'une agricole et l'autre urbaine) en se basant sur les travaux de Mircea Eliade. Dans cette logique il avance que le culte d'un dieu naturiste et phallique, assimilé au taureau, serait un modèle universel mais que cette croyance aurait été marginalisée par l'expansion de la culture urbaine monothéiste. D'après Daniélou toujours, non seulement les 2 divinités, grecque et indienne, partagent bien des mythes en commun, mais en plus leur épithètes ont des significations comparables.

«  [...]Dionysos est le Prôtogonos (le Premier-né) comme Shiva est Prathamajâ (Premier-né), le « plus ancien des dieux », aussi appelé Bhâskara(Lumineux) ou Phanès (Celui qui illumine) dans la tradition orphique. Ce dieu qui enseigne l'unité fondamentale des choses est appelé Shiva (Bienveillant) ou Meilichios (le Bienveillant). Il est Nisah (la Béatitude), le dieu de Naxos ou de Nysa. Le nom même de Dionysos signifie vraisemblabement le « dieu de Nysa» (la montagne sacrée de Shiva)comme Zagréus est le dieu du mont Zagron. Shiva-Dionysos est aussi Bhairava (le Terrible)ou Bromios (le Bruyant), Rudra ou Eriboas (le Hurleur).[...] »

— Alain Daniélou, Shiva et Dionysos, Fayard 1979

Pierre Lévêque constate également des similitudes entre les 2 divinités, mais il rappelle que

« Dionysos et Shiva représentent deux formes bien spécifiées d'un même archétype, remontant sans doute au début du Néolithique, quand les communautés humaines se sont organisées en agglomérations villageoises et que ville et territoire se sont donc séparés. »

— Pierre Lévêque, Dionysos dans l'Inde[12]

Bernard Sergent, chercheur au CNRS, agrégé d'histoire, grâce à la recherche comparative, confirme que Śiva et Dionysos représentent un héritage religieux indo-européen car d’autres figures divines chez les Germains, les Baltes, les Anatoliens, les Thraces, les Phrygiens, les Celtes se rattachent à Dionysos et Śiva[13].

Christianisme et l’hindouisme[modifier]

  • D'après certaines sources sujettes à caution[14], Jésus aurait pu passer une partie de sa jeunesse en Inde. D'autres affirment encore qu'une lecture du Bhavishya Purana (dans le livre Pratisarga Parva, (au XIXe Chapitre, §17 à 32) permettrait d'y reconnaître la rencontre entre Jésus (Isha Masiha) et le roi Shalivahana, petit fils de Vikrama-Ditya. Cependant, Swami Parmeshwaranand[15] explique que les Purana sont une tradition toujours vivante et que le Bhavishya a été constamment mis à jour. Il ajoute aussi que Frederick Eden Pargiter considérait les thèmes bibliques comme étant des interpolations très récentes.
  • Dans un roman, intitulé Le Secret de Paul[16], Éric de Broqueville, l'auteur s'applique à élaborer une hypothèse sur les sources mêmes de la culture judéo-chrétienne. D'après l'éditeur, de nouvelles fouilles archéologiques sont à l'origine de ce travail qui a conduit l'auteur à fournir un travail de recherche à partir de différents textes sanskrits comme le Veda, les Upaniṣad.

trimurti et trinité[modifier]

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La fonction tripartite du divin en Inde et dans le christianisme semble être un concept jumeau. Dans le monde chrétien, c'est le 20 mai 325 que le concile de Nicée condamne l'arianisme au profit des partisans d’Athanase[17]. Depuis cette date, l’Église prêche une triple nature de Dieu. Dans l'Hindouisme, la trimurti actuelle est une analogie de la théorie des gunas issue de la philosophie du sankhya que l'on trouve en germe dans les upanishads (Chāndogya et Bṛhadāraṇyaka Upaniṣad). La trimurti n'est formalisée que plus tard dans les puranas[18].

« 2. En vérité, l'eau est arka (le feu du sacrifice). Et ce qui était là comme la mousse sur l'eau, s’est solidifié, et est devenu la terre. Sur cette terre, il se reposait, et de lui, au repos et plein d’ardeur, Agni a jailli, plein de lumière.

3- Il, la Mort, s'est divisé en trois : un tiers devint Aditya, le Soleil et un autre tiers Vayu, l'air. Ainsi le Prana est devenu triple. »

— Bṛhadāraṇyaka Upaniṣad[19].

Il est donc difficile d'affirmer si l'une de ces traditions a inspiré l'autre. Il parait plus évident qu'une source commune ait pu inspirer cette philosophie, notamment lorsqu'on prend en compte l'idée d'une civilisation antérieure indo-européenne. Georges Dumézil a mis en avant le modèle de la triade, qui est un élément important de la culture indo-européenne.

Articles détaillés : Triades indo-européennes et Georges Dumézil.

Cependant, si les théologiens chrétiens ont fait du concept de la trinité quelque chose d'impénétrable, comme un mystère et une preuve en soi de Dieu, en Inde, par contre, la Trimoûrti fut l'objet de mûres réflexions [réf. nécessaire]. Si en Inde le Divin est triple, c'est parce que l'on y considère que l'univers est constitué de trois vecteurs, ou guna-s (mode de la nature matérielle) : La Création associée à la Vertu (Sattva), lInertie associé à lIgnorance (Tamas) et la Destruction associée à la Passion (Raja). C'est le mélange de ces trois saveurs[réf. nécessaire] qui constitue le monde matériel et spirituel. Pour cela, la divinité doit nécessairement impulser ces trois guna-s : Brahmā règne donc sur Rajas, Vishnou sur Sattva et Shiva sur Raja[pas clair]. Plus frappant, l'association avec la désignation chrétienne est possible, Brahma naissant du nombril de Vishnou, devient le fils, Vishnou le père et Shiva de nature immanente comme le Saint-Esprit. Chacune de ces saveurs est associée à une couleur : Sattva le blanc ; Tamas le Noir ; et Rajas le rouge. Ce qui n'est pas sans rappeler le code du judaïsme et de la tradition grecque antique, qui partagent ce même code : le blanc est la lumière, le rouge le sang et le noir les ténèbres.

Les mythes similaires[modifier]

Le continent englouti[modifier]

On attribue souvent le mythe de l'Atlantide à Platon. Cette limitation de la diffusion du mythe à la seule société grecque aurait permis à ses détracteurs d'invalider la théorie platonicienne [réf. nécessaire]. La véracité du mythe n'est pourtant pas l'élément le plus important pris en compte par les mythologues. Dans la tradition indienne plusieurs ouvrages, encore plus anciens que l'œuvre de Platon, relatent une histoire similaire. Pour autant, rien n'atteste que les indiens soient à l'origine du mythe puisque d'autres traditions en font également mention. que l'authenticité du mythe, cette correspondance accrédite la théorie d'une civilisation indo-européenne[réf. nécessaire]. On cite alors comme exemple la description de l'île de Lanka du Vishnu-Purana, où une civilisation technologiquement supérieure prospère, maîtrisant une énergie capable de leur fournir puissance et chaleur. Mais c'est dans la tradition indienne que le mythe s'approche encore plus de celui de Platon. Alain Daniélou parle de l'origine des peuples dravidiens (population du sud de l'Inde à peau noire ou brune): « Selon la tradition, il serait venu d'un continent situé au sud-ouest de l'Inde et englouti par la mer »[20].(mythe de la Lémurie) D'autres purana racontent la destruction d'une ville située sur une île de l’océan Indien par Shiva. Ce continent englouti se nomme Kumari Kandam.

Le Déluge, le personnage de Noé et de Manu[modifier]

Matsya, Inde centrale, IXe -Xe siècles. British Museum.

On retrouve le mythe biblique du déluge et de l'arche de Noé dans beaucoup de civilisations. Selon Alain Daniélou, par le passé,

«  Les chrétiens prenaient pour des actualités historiques les récits symboliques de la Bible et de l'Évangile et [allaient] fouiller le sommet du mont Ararat pour y chercher les débris de l'arche de Noé alors que le mythe du déluge est universel, connu des Hindous comme des Babyloniens et des peuples américains, et que chaque tradition fait échouer l'arche sur une montagne différente. »

— Alain Daniélou, Shiva et Dionysos[21]

Dans la tradition indienne, ce mythe correspond à une fin du monde, ce dernier étant détruit cycliquement selon le temps divisé en kalpas. Dans le Mahâbhârata, le Bhagavata Purana et le Matya-purana, Manu, le premier des hommes de notre ère, a pour fonction de récréer la vie sur la terre car, à chaque destruction, succède une création. Manu sauve un petit poisson et le recueille chez lui, plus il le soigne, plus il grandit. À chacune de ses requêtes, Manu obéit en le transvasant régulièrement dans des récipients de plus en plus grands, jusqu'à le remettre à la mer. Une fois le poisson gigantesque dans l'océan, celui-ci se révèle être Matsya le premier avatar de Vishnu, il lui apprend que la destruction du monde est imminente et qu'en échange de ses services, il accorde de lui venir en aide. Manu se construit donc un bateau. Le jour du déluge, le poisson tire son navire et l'amarre au sommet de la plus haute montagne. Les dieux le récompensent de ses austérités en lui offrant une épouse dont descend l'espèce humaine.

Voir aussi[modifier]

Liens internes[modifier]

Bibliographie[modifier]

  • Thich Nhat Hanh, Bouddha et Jésus sont des frères, Poche
  • Mircea Eliade, Histoire des croyances et des idées religieuses : Volume 1, De l'âge de pierre aux Mystères d'Eleusis Broché – 24 février 2016, Ed. : Payot (24 février 2016), Coll. : Bibliothèque historique, 572 pages, (ISBN 978-2228914444)

Références[modifier]

  1. Daniel Schlumberger, Descendants non-méditerranéens de l'art grec, Syria, Année 1960, Volume 37 ,Numéro 1, p. 131-166
  2. Denis Faïck, La Différence des pensées. L’Inde et l’Occident, Vrin, 2015, n°44
  3. « Ce pays était occupé, depuis plus de quatre cents ans, en partie du moins, par une colonie sacerdotale nombreuse venue de l'Inde, sous la conduite de deux frères, Kiçanê et Témétr. Sincèrement attachés à leurs dieux, soutenus d'ailleurs par le prince de Haschdiank' et favorisés par l'accès difficile de leurs montagnes, les Indiens résolurent de défendre, les armes à la main, le culte de leurs pères et leur nationalité. Quand Grégoire se présenta à l'entrée de leur territoire, secrètement instruits de ses projets, ils l'attaquèrent avec vigueur et mirent même sa vie en danger. La victoire fut chaudement disputée, et il ne fallut rien moins que la supériorité des princes arméniens dans le métier de la guerre, pour venir à bout de leur résistance. Les Indiens furent vaincus, leurs idoles et leurs temples détruits, et, sur leurs débris, Grégoire éleva des églises et des monastères, qu'il plaça sous la direction de moines ou de prêtres syriens et grecs venus avec lui de Césarée et de Sébaste. Ceux qui refusèrent d'adopter l'Evangile furent tués ou jetés en prison loin de leur pays. Ces faits, joints au récit sommaire des événements accomplis en Arménie depuis la mort d'Ardévan, de la naissance et de l'éducation de saint Grégoire, ainsi que de quelques autres d'un non moindre intérêt, comprennent l'espace écoulé entre les années 205 et 304 »
  4. Alain Daniélou, Mythes et Dieu de l'Inde, le Polythéisme Hindou, Flamarion, réd. 2009.
  5. Revue des Deux Mondes, Tome 24, 1840, Lerminier :De l’humanité par M. P. Leroux.
  6. Victor Cousin, Histoire générale de la philosophie: Depuis les temps les plus anciens jusqu'à la fin du XVIIIe siècle, (lire en ligne)
  7. Léon Poliakov, Le mythe aryen - Essai sur les sources du racisme et des nationalismes, Pocket, 434 pages p. (ISBN 2-266-05323-X)
  8. (en) Edward J Urwick, Plato - A Re-Interpretation of the Republic : The Message of Plato, Routledge Library Editions, 1920, réédition 2013 (lire en ligne)
  9. Roger-Pol Droit; L’Oubli de l'Inde : Une amnésie philosophique; Seuil 2004.
  10. Audrey Burton, « Itinéraires commerciaux et militaires entre Boukhara et l’Inde », Cahiers d’Asie centrale [En ligne], 1/2 | 1996, mis en ligne le 01 février 2011, consulté le 22 août 2017. URL : http://asiecentrale.revues.org/415
  11. Jean-François Salles, Avant-propos [liminaire] , Topoi Année 1993, Volume 3, Numéro 2, pp. 389-390
  12. Pierre Lévêque, Dionysos dans l'Inde, Actes du Colloque "Anthropologie indienne et représentations grecques et romaines de l'Inde", Besançon 4-5 décembre 1992, Annales littéraires de l'Université de Besançon Année 1995 Volume 576 Numéro 1 pp. 125-138
  13. Bernard Sergent, Le Dieu fou, Essai sur les origines de Śiva et de Dionysos, 448 pages, ed. les belles lettres, 2016, EAN13 : 9782251385716
  14. Nicolas Notovitch (Auteur), Christian Bouchet (Préface), La vie inconnue de Jésus-Christ en Inde et au Tibet Broché, (ISBN 978-2867143458)
  15. (en) Swami Parmeshwaranand, Encyclopaedic Dictionary of Puranas, volume 1, Sarup & Sons, (lire en ligne), p. 277,278
  16. Eric de Broqueville, Le secret de Paul Broché, Editions de la Lagune,
  17. Mariette Canevet, L'unicité de la foi comme fondement de la communion dans l'Église : Athanase et la controverse autour de Nicée, Revue des Sciences Religieuses Année 2001 Volume 75 Numéro 1 pp. 68-76
  18. Jean Naudou, L’analyse ternaire de la nature dans la pensée indienne, Revue de l'histoire des religions, Année 1980, Volume 197, Numéro 1 pp. 7-26.
  19. The Upanishads, traduction par Max Müller,Part II, Sacred Books of the East, Volume 15, 1884
  20. Alain Daniélou, Shiva et Dionysos p. 27, Fayard 1979.
  21. Alain Daniélou, Shiva et Dionysos, Fayard 1979.

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